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20.04.2016 à 13 H 01 • Mis à jour le 20.04.2016 à 13 H 04
Par
Sport

Comment l’Iran a révolutionné le style des lutteurs marocains

Zied Ait Ouagram, nouvelle star marocaine de lutte et espoir olympique de l’équipe du Maroc.
Trois lutteurs vont porter les couleurs du Maroc lors de JO 2016 de Rio. Une performance inédite fruit d’un partenariat avec l’une des écoles les plus prestigieuses en lutte, l’Iran. Les secrets d’une success story.

Jadis un sport très populaire porté par les clubs de Casablanca, Khouribga, El Jadida ou des clubs affiliés aux syndicats, la lutte gréco-romaine et la lutte libre ont disparu du tableau des sports les plus en vues du pays. Contrairement à l’Egypte, la Tunisie, l’Algérie ou l’Afrique du Sud dont certains athlètes ont remportés des médailles olympiques, la lutte marocaine a stagné pendant des décennies. Pourtant, la Fédération royale marocaine de luttes associées (FRMLA), est la quatrième fédération créé au Maroc en 1956, grâce au syndicaliste  L’haj Hamid El Oufir, une légende dans le milieu. En 2012, l’arrivée de Fouad Maskout à la tête de la fédération change la donne. Combatif, ce doukkali pur jus prend sa première grande décision : aligner la formation des lutteurs marocains aux grandes nations de ce sport, l’Ouzbékistan et surtout l’Iran. Un tournant.

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