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25.04.2016 à 17 H 06 • Mis à jour le 25.04.2016 à 17 H 24
Par
Guéguerre

L’article 288 du code pénal au coeur de la discorde entre syndicats, gouvernement et patrons

Le Chef du gouvernement Abdelilah Benkirane est pris en otage entre syndicats et patronat. Ici en discussion avec Miloudi Moukharrik de l’UMT et la président de la CGEM Miriem Bensalah.
Si le dialogue social semble monopolisé par le débat sur la réforme des retraites et l’augmentation des revenus des salariés, un sujet, moins médiatisé, apparaît comme le principal sujet de discorde entre les différents partenaires sociaux. Un article hérité de la colonisation qui garde en otage le sacro-saint principe des libertés syndicales. Décryptage.

Après plusieurs mois de brouille entre le gouvernement et les centrales syndicales, le dialogue social a repris le 12 avril dernier. Un premier round a réuni les deux parties et s’est déroulé dans une ambiance « bon enfant », si l’on en croit les déclarations des représentants syndicaux et du gouvernement. Cela dit, la lourdeur du dossier revendicatif des syndicats, la persistance du gouvernement à vouloir faire passer sa réforme des retraites et la CGEM, représentant des patrons, qui ne lâche rien, ont fait que les négociations s’étalent sur plusieurs jours. Une deuxième réunion a été organisée mardi dernier, 19 avril, mais aucun accord n’a encore été trouvé.


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