S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
Newsroom
Le meilleur de l’actualité au fil des événements

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Soyez au devant de l'actualité avec notre offre Découverte

80 DH
1 mois
Découvrir les offres
26.06.2016 à 17 H 50 • Mis à jour le 26.06.2016 à 18 H 35
Par
Politique

L’Istiqlal tente d’organiser un front partisan uni contre le PAM en vue des élections

Hamid Chabat en 2016, à l’époque encore secrétaire général de l’Istiqlal. DAVID RODRIGUES / LE DESK
Depuis quelques semaines, une vive tension s’est installée entre le parti historique et l’Etat. La destitution de sept conseillers de la deuxième chambre encartés à l’Istiqlal a mis le feu aux poudres. Un complot ourdi par la technostructure du régime, selon Hamid Chabat, qui vient de confirmer la nouvelle orientation du parti qui a acté son divorce avec le PAM hier lors d’un conclave de son Conseil national. Le PJD, Benkirane en tête, adhère à la thèse.

Rien ne va plus entre le parti de l’Istiqlal et l’Etat depuis quelques semaines. Le parti historique issu du mouvement nationaliste a enchainé des sorties médiatiques violentes pour faire face à ce qu’il considère comme une annonce de « guerre » contre sa formation visant à l’affaiblir à quelques mois du grand rendez vous législatif.


Encore hier, lors de la session extraordinaire du Conseil national du parti de la balance- à laquelle n’a pas parti cependant son président Tawfiq Hjira, Hamid Chabat, secrétaire général, n’a pas mâché ses mots n’hésitant pas à parler d’hégémonie « aussi bien le ministère de l'Intérieur que le PAM ». Dans une interview accordée hier samedi à Al Massae, il a accusé le ministère de l'Intérieur de « soutenir le PAM pour remporter les élections ». Chabat y a durement taclé le PAM assurant que son rival désigné « est plus fort que l'institution de la présidence du gouvernement ».

 

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.