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02.12.2018 à 23 H 49 • Mis à jour le 02.12.2018 à 23 H 49
Par
France

«Gilets jaunes»: Emmanuel Macron au pied du mur

Boulevard Poissonnière à Paris, une baricade enflammée. MARTIN BARZILAI/ HAYTHAM PICTURES / MEDIAPART
Le chef de l’État français est confronté à la crise politique la plus grave depuis le début de son mandat. Alors que des leaders de l’opposition ont appelé à une dissolution de l’Assemblée nationale, la semaine qui s’ouvre s’annonce décisive pour l’exécutif. La piste d’un rétablissement de l’état d’urgence a été écartée, à ce stade, à l’issue d’une réunion de crise dimanche à l’Élysée

Au lendemain des violences et des destructions qui ont émaillé la troisième journée de manifestation des « gilets jaunes », Emmanuel Macron a écarté à ce stade, dimanche 2 décembre, l’option controversée de l’état d'urgence, pourtant avancée par certains de ses proches.


Pour le chef de l’État, confronté à sa plus grave crise politique depuis son entrée en fonction au printemps 2017, la semaine qui s’ouvre s’annonce décisive. Face aux appels de plusieurs leaders de l’opposition à des législatives anticipées, il va tenter de mettre en scène « le dialogue ». Édouard Philippe recevra, à partir de lundi à Matignon, un collectif de « gilets jaunes », mais aussi la maire de Paris, Anne Hidalgo, et les chefs des partis représentés à l’Assemblée nationale.


Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux est l’un de ceux à avoir évoqué le plus clairement l’option de l’état d'urgence, au micro d’Europe 1, dimanche dans la matinée : « Il a y une réunion tout à l’heure avec le président de la République, le premier ministre et le ministre de l’intérieur pour faire d’abord un bilan de la journée d’hier et voir quelles sont les mesures que nous pourrions prendre pour éviter cela, parce qu’il n'est pas question que chaque week-end devienne un rendez-vous et un rituel de la violence. »

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