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27.06.2019 à 03 H 02 • Mis à jour le 27.06.2019 à 03 H 02
Par
Maghreb

Le drapeau berbère soude un peu plus le peuple algérien

Des manifestants contre le régime algérien arborant le drapeau national et l’étendard amazigh. Archives
Le chef de l’armée algérienne espérait diviser le mouvement populaire en agitant le chiffon identitaire et en interdisant le drapeau berbère dans les manifestations. Sa tentative se solde par un échec et une nouvelle atteinte aux libertés fondamentales

La manœuvre est énorme. À défaut de parvenir à ses fins en perpétuant le système qui l’a propulsé au sommet du pouvoir, Ahmed Gaïd Salah, le nouvel homme fort de l’Algérie depuis la démission forcée de l’ancien président, s’essaie à diviser et à fracturer le puissant soulèvement populaire qui métamorphose le pays depuis plus de quatre mois.


Le chef d’état-major de l’ANP, l’armée algérienne, qui a fini par lâcher Abdelaziz Bouteflika et son clan, s’aventure désormais sur le terrain identitaire. Dans son collimateur : le drapeau amazigh (berbère), trois bandes horizontales bleue, jaune et verte, et une lettre au centre, la lettre « yaz » de l’alphabet tifinagh, qui signifie « homme libre » et que l’on traduit dans l’alphabet latin par la lettre « z ».

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