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06.01.2020 à 01 H 40 • Mis à jour le 06.01.2020 à 01 H 40
Par
Infrastructures

L’Etat devrait se résoudre à la privatisation des autoroutes, faute de rentabilité

Anouar Benazzouz, directeur général de la Société nationale des autoroutes du Maroc (ADM). Crédit : David Rodriguez / Le Desk
Surendettée, Autoroutes du Maroc peine à joindre les deux bouts. Son patron, Anouar Benazzouz, a reconnu que l’entreprise étatique qui consent pas moins de 500 millions de dirhams annuellement en dépenses d’entretien ne peut faire face à elle seule à ses projets d’extension du réseau. Le contrat-programme attendu pour fin 2019 devait lui donner un second souffle. Aujourd’hui, l’option de la privatisation est sérieusement remise sur la table

On le sait, Autoroutes du Maroc (ADM) est dans le rouge. Ni la hausse du trafic, ni la généralisation du dispositif Jawaz qui permet un prépaiement des péages n’a pu endiguer le manque de rentabilité des infrastructures autoroutières lancées il y a 20 ans et totalisant près de 1800 km. En cause, les charges devenues dispendieuses pour le budget d’ADM pour en assurer l’entretien.


« Le trafic autoroutier est en croissance de plus de 5 % au 27 décembre, bien au-delà de la croissance du PIB. L’évolution du trafic est généralement rapprochée à la croissance du PIB pour les poids lourds parce qu’il s’agit de l’activité économique », a déclaré à La Vie Eco, Anouar Benazzouz, patron d’ADM. Il a cependant reconnu que l’entreprise étatique consent pas moins de 500 millions de dirhams annuellement en dépenses d’entretien pour assurer un niveau décent de son service.

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