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25.02.2020 à 23 H 33 • Mis à jour le 25.02.2020 à 23 H 33
Par
Corruption

Diana Holding, l’acteur-clé oublié de l’affaire Khalid Ouaya

Rita Zniber, PDG de Diana Holding. Archives
Les détails dans le dossier de l’ex-directeur de l’agence urbaine de Marrakech et sa femme, condamnés pour corruption, ont occulté un acteur central directement impliqué dans l’affaire : Diana Holding. C’est pourtant à une de ses filiales qu’étaient destinés près de 9 millions de dirhams de corruption

Reconnu coupable de corruption, l’ex-directeur de l’Agence urbaine de Marrakech, Khalid Ouaya, a été condamné à dix ans de réclusion assortie d’une amende d’un million de dirhams. Sa femme, Sabrina Bouzidi, a écopé de cinq ans de prison pour complicité et d’une amende équivalente à celle infligée à son mari. Tous deux ont interjeté appel, nous dit Bouzidi, encore en liberté en attendant le procès en appel.


Très médiatisée, l’affaire a été relatée dans le menu détail par la presse. L’arrestation en flagrant délit, la tentative de fuite, la perquisition ayant permis de mettre la main sur d’importantes sommes d’argent, des montres, des bijoux et autres sacs de luxe, la défense contradictoire des accusés… autant d’éléments qui ont fait les choux gras des médias. Seulement, le groupe Diana Holding n’a jamais été cité. Pourtant, il constitue une pièce maîtresse du dossier, car le chèque de 8,8 millions de dirhams que Khalid Ouaya avait sur lui au moment de son arrestation était à l’ordre d’une filiale de la holding de Rita Zniber : IFA Conseil.

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