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11.04.2020 à 19 H 15 • Mis à jour le 11.04.2020 à 19 H 15
Par
Banques

La BCP lessiveuse byzantine de BNP Paribas au Gabon

Siège de la Banque Centrale Populaire à Casablanca. AIC PRESS
Après quatre ans de difficiles tractations, BNP Paribas a enfin pu boucler son désengagement de sa participation à hauteur de 47% dans la BICIG gabonaise. Parmi les repreneurs potentiels, Attijariwafa bank a jeté l’éponge au profit de la Banque centrale populaire (BCP). La raison ? Des dettes difficilement recouvrables et des comptes aux fonds sensibles que la banque française a refusé de garantir. Les détails d’un montage byzantin

Débutée en 2016, la vente des 47 % que détenait BNP Paribas dans la Banque internationale pour le commerce et l'industrie du Gabon (BICIG) a mis près de quatre ans à se boucler. Fin mars, c'est le Fonds gabonais d'investissements stratégiques (FGIS) qui reprenait ses actifs contre la coquette somme de 39 millions d’euros. Un rachat ? Plutôt un portage explique Africa Intelligence  : le fonds souverain gabonais va immédiatement en rétrocéder la majorité au groupe ivoirien Atlantique finance de Bernard Koné Dossongui, filiale de la Banque centrale populaire (BCP)

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