Malgré l’interdiction du ministère de l’Intérieur, l’abattage des chiens errants se poursuit
Image d’illustration. Des chiens errants au Maroc. Archives Le Desk
Le 19 avril, un événement peu commun aura lieu au siège d’Imlili : le choix d’un prestataire chargé d’abattre des chiens errants par armes à feu. La contrepartie : 295 000 dirhams. Nichée dans la région de Dakhla Oued Eddahab, cette petite commune exige ainsi « la réalisation de cent opérations d’abattages des chiens errants qui constituent une menace sur la santé publique et ce par utilisation d’armes à feu dans les zones périurbaines de la commune Imlili, ses sites d’estivage et ses zones d’influence », est-il écrit dans le cahier de prescriptions spéciales, consulté par Le Desk.
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