S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
Newsroom
Le meilleur de l’actualité au fil des événements

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Soyez au devant de l'actualité avec notre offre Découverte

80 DH
1 mois
Découvrir les offres
17.06.2021 à 06 H 35 • Mis à jour le 23.06.2021 à 12 H 36
Par et
Enquête

Les princesses rachètent discrètement Yamed Capital aux héritiers De Ménibus

Les princesses Lalla Hasnaa et Lalla Asmae, soeurs de Mohammed VI. Crédit : MONTAGE ©MOHAMED DRISS K. / LE DESK
Le bâtisseur Yamed Capital jusqu’ici partenaire privilégié au Maroc des princesses Lalla Asmae et Lalla Hasnaa, est, selon nos informations, finalement tombé dans leur escarcelle. L’opération, actée début avril, a été nouée à l’international avec les héritiers du fondateur français Arnaud De Ménibus, à travers une cascade de véhicules d’investissement de droit néerlandais et un gestionnaire d’actifs britannique rompu aux deals offshore. Les détails

C’est l’épilogue d’une alliance forgée depuis des années entre les princesses Lalla Asmae et Lalla Hasnaa avec Yamed Capital, promoteur immobilier détenu jusqu’ici à travers une imbrication de véhicules d’investissement, principalement de droit néerlandais, par les héritiers d’Arnaud de Ménibus, magnat de la pierre français. Un pacte qui, selon nos informations, s’est achevé par une opération de rachat nouée à l’international dont le résultat est le reclassement au Maroc des intérêts de Yamed au profit des sœurs du Roi Mohammed VI.


En pratique, le 6 avril 2021, Yamed Capital Managers N.V. vendait la totalité de ses 10 000 parts à Demay Group B.V. L'opération a bien été inscrite sur les tablettes du registre commercial marocain, comme a pu le constater Le Desk, mais demeure illisible tant ces entités demeurent à priori insondables.

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.