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03.02.2022 à 16 H 57 • Mis à jour le 03.02.2022 à 17 H 19
Par
Aviation civile

Réouverture des frontières : La discrète et controversée taxe aérienne refait surface

Un hall de l’aéroport Mohammed V de Casablanca. Crédit: Anadolu Agency
Instaurée en 2014, la taxe aérienne vient d’être intégrée dans le Code général des impôts. Une mesure née dans la contestation et le cafouillage qui fait de nouveau l’objet de débat alors que le ciel marocain sera de ré-ouvert ce 7 février

« Taxe aérienne : vous allez payer plus cher à la réouverture des frontières », titrait le Site Info le 16 janvier, une mesure dictée, selon le média numérique, par « les dégâts de la Covid-19 dans le tourisme », qui auraient « fini par convaincre les autorités d’instaurer une taxe de solidarité pour le secteur ». En réalité, cette taxe n’est pas nouvelle.


Instaurée en 2014 pour renflouer les caisses de l’Office national marocain du tourisme (ONMT) et du Fonds d’appui à la cohésion sociale, elle a refait surface dans la loi de Finances de 2022, qui a légèrement modifié son mode de perception, la taxe étant désormais intégrée dans le Code général des impôts (CGI).

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