S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
Newsroom
Le meilleur de l’actualité au fil des événements

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Soyez au devant de l'actualité avec notre offre Découverte

80 DH
1 mois
Découvrir les offres
19.08.2020 à 18 H 49 • Mis à jour le 19.08.2020 à 18 H 49
Par
Polémique

ANRE: le critère de la fidélité placé au dessus de la compétence

Hakim Benchamach et Habib El Malki. MAP
A l’annonce des membres du conseil de l’Autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE), plusieurs voix se sont élevées contre Habib El Malki et Hakim Benchamach pour avoir coopté des personnalités qui leur sont fidèles et dont la compétence réglementaire est mise en doute. Un caillou dans la chaussure d’Abdellatif Bardach qui fait ses premiers pas à la tête de cet établissement stratégique

« Non, je ne démissionnerai pas. » Le Pamiste Khalid Hennioui ne fait pas grand cas de l’ultimatum lancé par le bureau politique de son parti. Le 14 août, le parti du Tracteur diffusait un communiqué invitant ses trois membres nommés par Hakim Benchamach pour siéger au conseil de l’Autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE) à démissionner sous peine de sanctions. « C’est à lui [Abdellatif Ouahbi, ndlr] de prendre maintenant une décision maintenant », nous dit Hennioui.


Tout a commencé le 10 août, date à laquelle la liste tant attendue des membres de l’ANRE a été publiée au Bulletin officiel. Son président, Abdellatif Bardach, a été nommé par Mohammed VI en 2018, deux ans après la publication de la loi 48-15 relative à la régulation du secteur de l'électricité et à la création de l'Autorité nationale de régulation de l'électricité.

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.