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30.03.2021 à 19 H 33 • Mis à jour le 30.03.2021 à 22 H 03 • Temps de lecture : 4 minutes
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n°674.Comment Mustapha Bakkoury s’est brûlé les ailes à Masen

Surcoût à Ouarzazate, enlisement à Midelt : le programme Noor, vitrine de l’énergie verte marocaine a vu son soleil pâlir suite à des errements stratégiques et des couacs rédhibitoires. Il est aussi reproché au patron de Masen, sous le coup d’une enquête doublée d’une interdiction de sortie du territoire, de trop s’investir dans les chantiers immobiliers de la région Casa-Settat qu’il préside au détriment des dossiers incandescents de Rabat

C’est aujourd’hui officiel, Mustapha Bakkoury est sous enquête judiciaire. A son départ pour Dubaï ce lundi, il a été prié de rebrousser chemin de l’aéroport Mohammed V de Casablanca. Une mesure qui vient confirmer les rumeurs insistantes qui circulaient depuis des mois sur la disparition des radars du président de la région Casablanca-Settat et, depuis fin décembre 2009, patron de l'agence marocaine pour l'énergie durable (Masen).


Depuis que l’information a été rendue publique, mille conjectures sont avancées pour expliquer sa disgrâce, seconde de sa carrière après son limogeage de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) en juin 2009. Ce qui demeure tangible est en lien avec un des colossaux chantiers du pays que le roi Mohammed VI suit de près, celui des énergies renouvelables et dont le royaume en a fait un des axes de son développement socio-économique à coûts de milliards d’investissements.

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