S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
Newsroom
Le meilleur de l’actualité au fil des événements

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Soyez au devant de l'actualité avec notre offre Découverte

80 DH
1 mois
Découvrir les offres
21.04.2021 à 02 H 12 • Mis à jour le 21.04.2021 à 02 H 12
Par
Nations Unies

Sahara: des consultations au Conseil de sécurité sans grands enjeux immédiats

Un hélicoptère des Nations Unies atterrissant au point de passage contrôlé par le Maroc à Guerguerat. FADEL SENNA / AFP/ GETTY IMAGES
Le Conseil de sécurité organise ce 21 avril un briefing de la Minurso sur la situation qui prévaut au Sahara Occidental. Depuis novembre, les tensions ont repris entre Rabat et le Polisario, tandis que l’ONU et les grandes puissances appellent à la nomination d’un nouvel envoyé spécial dans la région. L’attitude de Washington sera particulièrement scrutée

Le Conseil de sécurité organise ce 21 avril des consultations par vidéoconférence et à huis clos sur la situation qui prévaut au Sahara occidental. Le sous-secrétaire général par intérim pour l'Afrique Michael Kingsley-Nyinah et le représentant spécial et chef de la Mission des Nations Unies pour le référendum sur le Sahara Occidental (Minurso), Colin Stewart y feront un exposé. Ce sera probablement le dernier briefing de Stewart avant son départ de son poste prévu l’été prochain, explique Security Council Report dans sa note What’s In Blue.


Les membres du Conseil de sécurité se sont réunis pour la dernière fois à propos du Sahara occidental en décembre 2020 à la demande de l'Allemagne à la suite d'une escalade des tensions suite aux événements de Guerguerat le 13 novembre durant lesquels les Forces armées royales (FAR) ont délogé des milices du Front Polisario venues bloquer le corridor routier menant à la Mauritanie.

Abonnez-vous pour continuer la lecture

à partir de 40 dh par mois

(facturé annuellement)

Choisir une offre

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.