La nouvelle bataille de Rita Bennis pour sauver « La Gazelle d’Or »

La vente judiciaire de La Gazelle d’Or n’a pas eu lieu au tribunal de première instance de Taroudant le 10 mai comme prévu. Mais ce n’est qu’un sursis pour ce célèbre palace de la ville, autrefois lieu de villégiature du couple présidentiel Chirac couru par la jet-set internationale, avant de tomber en décrépitude. Et une lueur d’espoir pour son emblématique patronne Rita Bennis.

Dépossédée en 2014 de son joyau par le Saoudien Michâal Ibrahim Adham avant d’en reprendre les rênes à l’issue d’un marathon judiciaire qui a duré près de six ans, la voilà à nouveau devant batailler en justice pour ne pas le perdre une fois de plus. « La vente n’a pas eu lieu car la procédure n’était pas complète », nous dit Rita Bennis. Une question de forme. « Mais la bataille est ailleurs », souffle-t-elle.