S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En continu
Les dernières informations en temps réel

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Soyez au devant de l'actualité avec notre offre Découverte

80 DH
1 mois
Découvrir les offres
30.03.2017 à 17 H 40 • Mis à jour le 30.03.2017 à 17 H 40 • Temps de lecture : 1 minutes
Par

LafargeHolcim installe sa R&D africaine à Casablanca

Le leader mondial des matériaux de construction LafargeHolcim a annoncé, jeudi, l'ouverture à Casablanca d'un laboratoire de recherche en développement de la construction (CDL), tourné vers le continent africain. "La nouvelle structure sera dédiée aux marchés de la construction marocain et africain", a souligné le groupe dans un communiqué. D'une superficie de plus de 4000 m2, le laboratoire de Casablanca regroupera une cinquantaine de spécialistes, dont des ingénieurs, des architectes, des techniciens et des experts en marketing. Cette nouvelle génération de laboratoires va permettre aux filiales de bénéficier de l'expérience et du savoir-faire technique de la firme, pour développer "des solutions adaptées aux caractéristiques et aux contraintes de ses marchés". Elle permettra en outre de répondre "aux exigences techniques des projets de ses clients", précise le communiqué. Il s'agit du huitième laboratoire de recherche en son genre dont dispose le numéro un mondial du secteur cimentier à travers le monde. LafargeHolcim dispose déjà de CDL en France, en Chine, en Inde, en Malaisie, en Argentine et au Mexique Avec un chiffre d'affaires net combiné de 33 milliards de francs suisses (27 milliards d'euros) en 2014, le groupe LafargeHolcim, qui emploie au total 115.000 personnes est présent dans 90 pays du monde. Le siège de la multinationale se trouve à Jona, en Suisse, et les fonctions centrales sont partagées entre Paris et Zurich. Le principal centre de recherche de LafargeHolcim est basé à Saint Quentin Fallavier, près de Lyon

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.

Par
Revenir au direct