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01.02.2018 à 13 H 32 • Mis à jour le 01.02.2018 à 20 H 28
Par
Energie

Un plan B pour relancer Nareva au Sahara

Saâdeddine El Otmani, Fouad Ali El Himma, Yassir Znagui, Mohamed Boussaid, le Aziz Rebbah, Amina Benkhadra, Mustapha Bakkoury, et Abderrahim El Hafidi autour de Mohammed VI, le 26 janvier au Palais royal de Casablanca. MAP
L’ambitieux Programme éolien intégré (PEI) bâti essentiellement sur les cinq fermes éoliennes sahariennes du trio Nareva-ENI-Siemens bute sur des contraintes de financement en raison du contexte politico-juridique du territoire. Sous la conduite du roi, Masen a repris le flambeau du projet à l’ONEE pour rechercher d’autres éventuels bailleurs de fonds que la BEI et la BAD…

Le Palais est décidé à souffler dans les pales du Programme éolien intégré (PEI) alors que le trio Nareva (filiale de la holding royale SNI), Enel Green Power et Siemens « désespère de lancer ce chantier qui doit transformer le Maroc en leader africain des énergies vertes », selon les sources de Maghreb Confidentiel.


Le grand chantier bâti autour de cinq fermes d’éoliennes totalisant pas moins de 850 MW pâtit des « atermoiements » de l'Office national de l'électricité et de l'eau potable (ONEE), bousculé par le limogeage de son ex-patron, Ali Fassi Fihri, dans le sillage du « séisme politique » qui a emporté plusieurs mandarins du pouvoir, accusés par ailleurs d’avoir mal géré le plan de développement Manarat d’Al Hoceima.

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