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31.12.2015 à 15 H 53 • Mis à jour le 31.12.2015 à 16 H 34
Par
Gestion d'actifs

Comme attendu, la Samir n’a pas honoré ses junk bonds

Cheikh Al Amoudi, actionnaire de référence de la raffinerie Samir. Crédit: DR
Le raffineur de Mohammedia n’a pas remboursé sa tombée obligataire de 800 millions de dirhams, mettant les gestionnaires d’actifs dans de sales draps en ce jour de fin d’année. Les détails d’un défaut de paiement qui risque d’asphyxier les petites boutiques de gestion de portefeuille.

Comme prévu, la tombée obligataire de la Samir, programmée pour aujourd’hui n’a pas été honorée. D’un montant de 800 millions de dirhams, ce nouveau défaut de paiement du raffineur crée un petit séisme sur la place casablancaise, surtout chez les petites sociétés de gestion d’actifs. Celles-ci devront passer des provisions de près de 300 millions de dirhams en cette fin d’année pour se couvrir, et s’attendre ainsi à une vague de rachat massif, qui grèvera leur trésorerie. « La situation n’est pas aussi apocalyptique qu’on le pensait. L’information du défaut de paiement a été largement consommée par le marché, surtout pour les clients avertis. Le choc a été donc un peu amorti », confie ce patron d’une société de gestion de la place.

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