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10.04.2019 à 12 H 55 • Mis à jour le 10.04.2019 à 12 H 55 • Temps de lecture : 6 minutes
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n°437.Israël: À la fin, c’est Netanyahou qui gagne

Le premier ministre israélien est en passe de pouvoir former une coalition de gouvernement et d’entamer un cinquième mandat. Mais il va devoir tordre encore plus le bras de la démocratie israélienne et des Palestiniens, afin d’échapper à la prison qui le menace

Et à la fin, c’est Netanyahou qui gagne… Depuis dix ans, les élections israéliennes se succèdent et se ressemblent : Benjamin Netanyahou y va affaibli, on le dit usé, plombé par une image négative et des affaires qui lui collent aux basques, mais à la fin, une fois que les derniers bulletins sont comptabilisés, il s’installe confortablement derrière le bureau de premier ministre. Jusqu’au scrutin suivant.


Même si, à l’issue du vote du 9 avril 2019, son parti le Likoud fait jeu égal avec son principal opposant, la liste « Bleu et Blanc » de Benny Gantz, c’est Netanyahou qui est le mieux placé pour former une coalition de gouvernement. Il confirme en cela l’adage qu’il y a deux élections en Israël : la première pour compter les voix, la seconde pour rassembler différents partis susceptibles de s’allier. En obtenant 35 sièges dans la future Knesset, il fait jeu égal avec Gantz, mais les petites formations nationalistes et religieuses avec qui il gouvernait déjà vont s’empresser d’annoncer leur ralliement pour franchir la barre de la majorité absolue de 61 sièges sur 120 députés.

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