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02.10.2017 à 00 H 15 • Mis à jour le 02.10.2017 à 00 H 15 • Temps de lecture : 6 minutes
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n°215.La Catalogne déstabilise le pouvoir de Rajoy à Madrid

Le dossier catalan qui s'envenime pourrait coûter cher à Mariano Rajoy, dont l'avenir dépend beaucoup des socialistes du PSOE, qui soutenaient jusqu'à présent le chef du gouvernement espagnol, mais commencent depuis dimanche soir à prendre leurs distances

Cela faisait des mois que Mariano Rajoy, à la tête du gouvernement espagnol, expliquait que le référendum du 1er octobre (« 1-O ») n’aurait pas lieu. Cela faisait des mois, aussi, que Carles Puigdemont, le chef de l’exécutif catalan, répétait l’inverse. Dimanche 1er octobre au soir, les deux camps n’avaient pas bougé d’un iota.


« Aujourd'hui, il n'y a pas eu de référendum sur l'autodétermination de la Catalogne. L'Etat de droit maintient sa force et sa validité », a déclaré Rajoy lors d’un discours en début de soirée, tandis que la numéro deux, Soraya Saenz de Santamaria, a parlé d’une « farce ». Tandis que l’exécutif catalan estimait, lui, que la quasi-totalité des bureaux de vote avaient pu être ouverts l’essentiel de la journée. Dans la soirée, le porte-parole de la Generalitat, confiant sur le taux de participation, assurait même que « nous pourrons compter (les résultats, ndlr) par millions ».


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