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25.07.2019 à 23 H 01 • Mis à jour le 25.07.2019 à 23 H 03 • Temps de lecture : 5 minutes
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n°494.Le CNDH noyauté par l’OMDH, pépinière du «militantisme soft» ?

Avec les récentes nominations à des postes-clé au Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), dont notamment celles de sa présidente Amina Bouayach et de son secrétaire général, Mounir Bensalah, c'est un pan particulier du milieu des droits humains, sympathisants ou membres de l'Organisation marocaine des droits de l’Homme (OMDH) qui en prend les commandes…

Après plusieurs années de retard, durant lesquelles le non-respect des statuts du CNDH avait été décrié , le roi Mohammed VI a décidé, le 19 juillet, de nommer plusieurs personnalités à des postes-clés de l'institution officielle. Parmi elles Mounir Bensalah désigné secrétaire général. Figure militante connue ayant participé au Mouvement du 20 Février, l’ingénieur issu des rangs de l’USFP, avait dirigé la section casablancaise de l’OMDH, en plus d’occuper depuis 2015, un poste à responsabilité au sein de l’organe central de l’association.


Cette nomination, faisant suite à celle de l’ancienne présidente et co-fondatrice de l’OMDH, Amina Bouayach, à la tête de l’institution héritière du Conseil consultatif des droits de l’Homme (CCDH), a confirmé pour nombre d’observateurs, « une mainmise de l’organisation sur l’instance ».

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