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17.09.2022 à 02 H 07 • Mis à jour le 17.09.2022 à 02 H 14 • Temps de lecture : 6 minutes
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n°793.Malgré l’incident du tweet supprimé, le Maroc peut compter sur le nouveau président kényan

En affichant son soutien au Maroc sur la question du Sahara pour sa première prise de position de politique étrangère, William Ruto, fraîchement investi maître de Nairobi s’est vite retrouvé au centre d’un imbroglio diplomatique. Pragmatique, il reste cependant sensible aux opportunités économiques offertes par une alliance avec Rabat

Le 14 septembre, William Ruto a annoncé que Nairobi retirait sa reconnaissance de la ‘RASD,’ entité séparatiste du Front Polisario. L’annonce est tombée à l’issue de son entrevue avec le ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita, arrivé dans la capitale kényane au lendemain de la cérémonie d’investiture de Ruto, élu à la tête de ce pays de la Corne de l’Afrique en août dernier.


Mais le tweet présidentiel annonçant la nouvelle a tout simplement été effacé, moins de trois heures après sa publication et son doublon sur Facebook retouché en conséquence. Aucune explication n’a pour le moment été fournie par le cabinet du chef d’Etat kényan. Le gazouillis en question avait été suivi de deux autres messages, dans lesquels Ruto ajoutait que « le Kenya appuie le cadre des Nations Unies en tant que mécanisme exclusif afin de trouver une solution durable au différend sur le Sahara occidental » et que son pays comptait « accélérer les relations avec le Royaume du Maroc dans les domaines du commerce, de l’agriculture, de la santé, du tourisme, de l’énergie, entre autres, pour le bénéfice mutuel de nos pays ». Ce passage a d’ailleurs été repris par l’agence MAP dans sa dépêche à ce sujet.

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