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26.04.2021 à 23 H 16 • Mis à jour le 26.04.2021 à 23 H 16 • Temps de lecture : 8 minutes
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n°684.Sahara: Pourquoi le Maroc envoie des signaux de contrariété à Antony Blinken

Le Maroc a été très déçu de l’attitude des Etats-Unis qui a échoué à faire adopter une déclaration commune même minime lors la réunion trimestrielle de consultations sur le Sahara tenue le 21 avril devant le Conseil de sécurité, alors même que le chef de la Minurso avait insisté sur les risques d’escalade dans la région. Rabat y voit un signe de neutralité négative du Département d’Etat nuisible à ses intérêts. Décryptage

Le Conseil de Sécurité des Nations Unies a tenu, le 21 avril, à huis clos, sa réunion semestrielle de consultations sur le Sahara durant laquelle le sous-secrétaire général par intérim pour l'Afrique Michael Kingsley-Nyinah et le représentant spécial et chef de la Mission des Nations Unies pour le référendum sur le Sahara Occidental (Minurso), Colin Stewart y ont fait un exposé.


« Cette réunion s'est déroulée dans une atmosphère sereine et s’est achevée sans aucune déclaration », a rapporté sans plus de détails l’agence officielle MAP, sinon celui de faire état des positions favorables au Maroc exprimées par certains membres du Conseil, dont principalement la France.


Mais en parallèle, Mohamed Salah Tamek, patron de l’administration pénitentiaire (DGAPR) a critiqué en sa qualité d’ancien cheikh d'identification du processus référendaire enterré depuis des années par le Maroc , « le silence des États-Unis devant les actions qu’engagent le Polisario et l'Algérie pour mettre en péril la paix dans la région du Sahara ».

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