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17.04.2023 à 00 H 44 • Mis à jour le 17.04.2023 à 00 H 44 • Temps de lecture : 1 minutes
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Diplomatie

L’Algérie ne digère pas l’ouverture d’une représentation de l’UMA à l’UA dirigée par une diplomate marocaine

Le 13 avril, Amina Selmane, ancienne consule du Maroc à Vérone a présenté ses lettres de créance à Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine (UA). La diplomate marocaine inaugurait ainsi l’ouverture d’une représentation permanente de l’Union du Maghreb arabe auprès de l’instance panafricaine.


En réaction, l’Algérie a exprimé ce dimanche son « profond étonnement » face à la décision « désinvolte » et « irréfléchie » du président de la Commission de l’Union africaine, faisant valoir que le mandat du Tunisien Taïeb Baccouche, secrétaire général de l’UA a pris fin en août 2022. La diplomatie d’Alger réfute qu’il puisse user de son statut d’intérimaire.


Pour le voisin de l’Est, autant Faki que Baccouche sont acquis au Maroc. Le Tchadien, souvent pointé du doigt pour son « tropisme envers Rabat », comme en juillet 2021 lorsqu’il a accepté d’accorder à Israël, allié du Royaume, le statut d’observateur à l’UA, est accusé « d’avoir cédé à une opération de manipulation malsaine, conçue et mise en œuvre à des fins ne servant aucunement les intérêts de l’Union du Maghreb Arabe et de l’Union Africaine ». Quant au Tunisien, le régime d’Abdelmadjid Tebboune lui avait reproché son appel à la réconciliation avec le Maroc…


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