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24.04.2021 à 21 H 32 • Mis à jour le 24.04.2021 à 21 H 32 • Temps de lecture : 1 minutes
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Nations Unies

Toujours pas d’envoyé spécial pour le Sahara à l’horizon, reconnaît l’ONU

Interrogé ce vendredi sur l’avancée des recherches pour un nouvel envoyé spécial pour le Sahara occidental, le porte-parole du secrétaire général des Nations unies (ONU), Stéphane Dujarric, a une nouvelle fois botté en touche. « Nous continuons [à chercher, ndlr]… comme le dit souvent le secrétaire général, il n’est ni pessimiste ni optimise, il est déterminé. Ce n’est pas une tâche facile », a-t-il reconnu, avant d’ajouter : « Nous avons vu les mêmes articles à propos de personnes qui auraient été bloquées pour une raison ou une autre ».


La semaine passée, l’ambassadeur du Maroc à l’ONU, Omar Hilale avait accusé l’Algérie et le Polisario de bloquer le processus de nomination d’un envoyé spécial pour le Sahara occidental. Dans une lettre adressée aux membres du Conseil de sécurité à la veille des consultations sur la question du Sahara, Hilale a déclaré que « l’Algérie et le Polisario ont refusé les deux propositions de nomination de Petre Roman et de Luis Amado  », ce qui constitue selon lui « une violation flagrante de la résolution 2548, qui a demandé la nomination d’un nouvel Envoyé personnel dans les meilleurs délai ».


La candidature de Petre Roman, ancien premier ministre roumain, avait été immédiatement torpillée par Alger et Tinfouf, l’homme étant réputé pour avoir un tropisme pour la solution d’autonomie défendue depuis 2007 par Rabat. Même cas de figure pour l’option Luis Amado, ex-chef de la diplomatie portugaise, à qui la presse algérienne reproche des prises de positions penchant vers la solution proposée par le Maroc.

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