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19.06.2020 à 08 H 32 • Mis à jour le 19.06.2020 à 14 H 36 • Temps de lecture : 1 minutes
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Règlementation

Tour de vis de l’Intérieur face aux dérives des communes en matière d’odonymie

Par une circulaire datée du 17 juin, le ministère de l’Intérieur rappelle aux walis et gouverneurs la procédure à suivre dans l’appellation des rues, avenues et places publiques. Un tour de vis qui fait suite à la polémique qui a éclaté en mai dernier, après la désignation par le maire PJD de Témara, Moh Rejdali, d’artères aux noms de figures du salafisme moyen oriental.


La circulaire rappelle que si l’appellation des places et avenues publiques est du ressort des conseils communaux (loi organique n°113.14/2015), elle doit se conformer au décret n° 2.17.307/2017 fixant les modalités de sa mise en œuvre, que ce soit pour les appellations rendant un hommage public ou rappellent un événement historique qui n’entrent en vigueur qu’après accord du gouverneur, dans un délai de 20 jours après réception de la demande du président du conseil communal, ou pour les appellations qui sortent de ce cadre.


De plus chaque appellation « doit être justifiée et non fondée sur des motivations personnelles ou liée au trafic d’influence et de privilèges, ni être contraire à l’ordre public et aux bonnes mœurs », ajoute la circulaire.

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