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21.02.2020 à 02 H 12 • Mis à jour le 21.02.2020 à 02 H 12 • Temps de lecture : 5 minutes
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A Kherrata, l’an I du mouvement populaire algérien

REPORTAGE Un an après le premier rassemblement contre un 5ème mandat d’Abdelaziz Bouteflika à la présidence algérienne, les habitants de Kherrata, ville rurale située à 300 km à l'est de la capitale Alger, ont commémoré, dimanche 16 février, le premier anniversaire du Hirak. Le prélude à d'autres mobilisations pour signifier que le mouvement ne compte pas s'arrêter avec l'élection de Abdemadjid Tebboune...

Située à 300 km à l’est d’Alger, Kherrata, ville rurale de 35 000 habitants, nichée dans les hauteurs de l’Atlas, a été la première localité à s’opposer massivement à la candidature du président Bouteflika, 20 ans au pouvoir, le 16 février 2019, inaugurant un cycle de contestations populaires pacifiques qui se poursuit toujours, un an plus tard.

 

A l’entrée de la ville, le long de la route principale, une zone d’activité industrielle semble presque à l’abandon. Les nombreux locaux vacants traduisent le manque d’investissement, dans une région longtemps marginalisée. « Bouteflika n’est jamais venu dans la wilaya de Bejaia en tant que président, seulement en tant que candidat en 1999 et 2004 », raconte Halim Medghour, enseignant de physique au lycée.


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