En juillet 2017, une enquête exclusive du Desk annonçait « le fiasco à venir » du partenariat public-privé conclu avec le groupe chinois Haite pour l’édification de la superlative Cité Mohammed VI Tanger Tech.
Un an plus tard, l’échec de ce partenariat byzantin était acté par la BMCE Bank sans mention du chinois Haite, bien incapable de remplir ses engagements pour réaliser ce projet de smart city hors norme.
Mais Othman Benjelloun, président de BMCE Bank en sa qualité de président de la Société d’Aménagement Tanger Tech (SA TT), créée en novembre 2017 pour mener à bien ce projet pharaonique, avait, lors d’un point d’étape, notamment affirmé que les entreprises Lear, Yazaki, Dicastal, BYD Auto Industry où encore la China State Construction Engineering Corporation (CSCEC), avaient marqué leur intérêt pour y investir.
Depuis, les tractations ont bifurqué loin des feux de la rampe, jusqu’à l’annonce surprise de la signature d’un MoU, cette fois-ci avec le groupe China Communications Construction Company (CCCC) grâce à l’entregent d’un lobbyiste pour le moins inattendu : l’ancien ministre écolo français Jean-Vincent Placé.
Le partenariat scellé à Pékin le 26 avril par SA TT et l’entreprise chinoise, a vu la présence de Mohcine Jazouli, ministre délégué en charge de l’Afrique, Ilyas El Omari en sa qualité de président de la région Tanger Tétouan Al Hoceima (TTAH) et Mohamed Brini de l’Agence spéciale Tanger Med (TMSA).
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@MarocAmar 
